La fois dernière, je brainstormais sur ChatGPT et j’ai réalisé que je n’avais jamais clairement partagé mon pourquoi ni ma vision dans un article.
Quand j’y pense c’est fou 👀
Donc, je vais le faire maintenant.
Je te préviens cet article sera assez long.
Et je n’avais pas envie de le faire en 2 parties car je voulais que le pourquoi (la « genèse » de mon entreprise) et la vision (le futur) soient ensembles.
Donc, j’ai fait un plan pour que tu puisses aller directement à la section qui t’intéresse le plus 😊
Plan
- Quand est-ce que j’ai écrit mon pourquoi ?
- Pourquoi mon activité existe ?
- Ma vision personnelle et professionnelle
- Conclusion
Quand est-ce que j’ai écrit mon pourquoi ?
Quand j’ai lancé mon activité, je n’ai pas écrit mon pourquoi (actuel).
Si tu crées ta marque, je te conseille de prendre le temps de faire ton introspection et de l’écrire. Crois-moi tu en auras besoin.
À l’époque, mon « pourquoi » était d’exercer mon métier de modéliste car je n’arrivais pas à trouver un poste en entreprise, tout simplement.
Si tu veux en savoir plus sur mon cheminement complet pour devenir modéliste & freelance, je t’invite à lire la première partie (car je ne vais pas trop m’attarder sur mon parcours aujourd’hui).
Le pourquoi que je vais te présenter aujourd’hui a été créé lorsque je me suis faite accompagnée, par ma mentor business Murielle, au printemps-été 2023 lors d’une refonte totale de mon activité.
Comme je te le disais plus haut, à la base mes objectifs étaient d’exercer mon métier et d’acquérir de l’expérience.
Quand ma mentor m’a dit : “Maintenant que tu as de l’expérience et que tu exerces ton métier, qu’est-ce qui fait que tu as envie de rester à ton compte ?”.
Et cette question qui m’a amenée à creuser la question du pourquoi.
Pourquoi mon activité existe ?
Les raisons personnelles
Pour rester indépendante et être libre
En me lançant à mon compte, j’ai découvert un monde que je ne connaissais pas : l’entrepreneuriat.
Grâce à ce statut, j’ai découvert que :
Je pouvais être libre d’organiser mon emploi du temps comme je le souhaitais
Choisir de travailler le matin et/ou l’après-midi et idem pour le nombre d’heures.
Et c’est quelque chose qui matche avec une réflexion que je me souviens m’être faite un jour : “ça serait trop bien de pouvoir travailler 6 mois de l’année et le reste du temps chiller”
Aujourd’hui, je ne fais pas 6 mois de travail, 6 mois de vacances 😂 mais avec l’entrepreneuriat, c’est possible d’aménager ton temps de cette façon, si tu le souhaites et si tu peux financièrement te le permettre.
De plus, ça dépend des périodes et des projets, mais je ne suis pas forcément productive toute la journée.
Il y a des jours où je pourrais travailler 10H sans forcer sans être dans le surmenage (parce que j’ai beaucoup d’énergie ces jours là). D’autres jours où je travaillerais plutôt 3-4H.
Tout cela me permet d’aménager les tâches et les projets comme je le souhaite, en fonction de mon énergie du moment.
Ce qui m’amène au point suivant.
Avoir le temps de mener tous les projets que je souhaite
Je sais que si j’avais été salariée à temps plein, en toute franchise, je ne sais pas si j’aurais eu l’énergie de me lancer dans l’entrepreneuriat en parallèle.
Je le sais car j’ai lancé ce blog en 2016, je l’ai peu alimenté car j’avais mon emploi de conseillère-vendeuse entre 2016 et 2018.
Et quand je rentrais du travail, je n’avais pas forcément envie de me lancer dans un projet de vêtement et de le documenter sur mon blog.
Je voulais juste me détendre et ne pas passer mon temps libre sur mon blog.
Ou sinon il aurait fallu que j’ai un Pourquoi très puissant pour que je puisse avancer sur le blog.
C’est aussi pour ça que j’admire les personnes qui cumulent entrepreneuriat et salariat.
Donc en étant à mon compte, ça me permet également d’avoir 100% de mon temps disponible pour :
- lancer des offres,
- participer à des évènements en ligne ou en présentiel…
- faire de la formation en ligne ou des produits digitaux, par exemple,
- bref, faire ce que je veux, quand je veux.
Avoir une grande polyvalence dans les tâches
Être modéliste signifie faire beaucoup de tâches diverses et variées sur un vêtement.
Mais avec l’entrepreneuriat, c’est encore plus divers et j’aime ça.
Tu apprends beaucoup de compétences que tu n’as peut-être pas de base comme le marketing et la vente.
Par exemple, la vente en boutique et le vente de prestations de services n’ont strictement rien à voir. La vente de prestations de services est bien plus longue.
Dans les 2 cas, on pose toujours des questions pour comprendre les besoins du client mais c’est une autre dynamique (les montants ne sont pas les mêmes, les enjeux diffèrent…).
Et pour te donner un autre exemple, je me suis découvert une passion pour la création de contenus grâce à l’entrepreneuriat. C’est pas toujours facile car chaque plateforme a ses codes et ses modes de fonctionnement.
Mais c’est justement ça qui est intéressant car ça te challenge.
Ça te pousse à te réinventer et ne pas toujours faire la même chose pendant des décennies.
Faire les choses à ma manière
Certains entrepreneurs te diront “qu’ils ont toujours eu du mal avec l’autorité”.
Personnellement, ce n’est pas mon cas.
J’ai déjà travaillé en entreprise que ce soit en job d’été, en stage ou en alternance et je faisais ce qu’on me demandait. C’est pas ma boîte.
Par contre, en étant à mon compte, je trouve ça cool d’avoir la liberté de pouvoir fixer mes règles, choisir à qui je veux proposer mes services, faire mes propres process, etc.
Par exemple, en travaillant en entreprise, je sais que je n’aurais pas pu avoir le process que j’ai avec Clo3D : créer les patronnages dessus, faire la gradation, etc.
En tout cas, à ce jour, ce n’est pas possible.
La plupart des entreprises qui l’utilisent (à ma connaissance) utilisent Clo3D de façon hybride avec Lectra Modaris qui est un logiciel de modélisme industriel.
Ou ne l’utilise pas du tout (ou pas encore) dans leur process.
Missions plus intéressantes qu’en salariat
Enfin, je trouve que l’entrepreneuriat me permet d’avoir des missions plus intéressantes que ce que j’aurais fait en entreprise.
Par exemple, en Ile-de-France, la plupart des grandes marques travaillent en produits finis.
J’ai un article qui détaille ce qu’est le produit fini mais pour faire court, ça veut dire que je ne crée pas les patronnages (car c’est sous-traité à l’étranger).
C’est le genre de poste qui ressemble plus à du contrôle qualité.
Et faire ce genre de mission de temps en temps, ça va.
Mais JE ne me vois pas faire QUE ça à long terme pendant 5 ans, par exemple, parce que je ne tiendrais pas, je ne m’y épanouirais pas.
Donc, rien que ça, ça me motive encore plus à rester modéliste freelance.
Car en étant à mon compte :
- les marques sont différentes
- les modèles sont différents
- les missions sont variées :
- je peux créer les tailles et/ou passer les patrons papiers en patrons digitaux
- je peux créer des vêtements de A à Z
- à mes débuts, j’ai même eu l’opportunité de faire de l’upcycling d’accessoires à partir de vêtements invendus. Je devais revaloriser le stock.
Et je fais des missions que je n’aurais peut être jamais faite en étant en entreprise parce que ça aurait peut-être été externalisé (par manque de temps ou de compétences en interne).
C’est plus stimulant
Aujourd’hui, j’utilise Clo3D.
Mais si j’avais été en entreprise peut-être que je ne me serais jamais intéressée à Clo3D.
Je serais peut-être restée dans ma zone de confort et reposée sur mes acquis et c’est pas du tout une critique envers les salariés.
Je comprends à 100% que lorsqu’on a fait un 9h-17h, même si on aime son métier, on a pas forcément envie de se replonger dans une veille du secteur ou autre lorsqu’on est OFF.
C’est normal.
Donc, en étant à mon compte, ça nourrit mon envie de challenge et ma curiosité.
Maintenant que je t’ai parlé de mon pourquoi personnel, je vais te parler de mon pourquoi extérieur.
Les raisons externes
Mes contenus
Il y a deux raisons pour laquelle je crée les contenus sur mon blog et mes réseaux sociaux c’est pour :
1) Rendre la fabrication de vêtements compréhensible
La plupart des marques qui me contactent ne sont pas du secteur de la mode à la base.
Et le truc, c’est qu’autant pour certains secteurs, il y a une mine d’informations. Mais autant pour la mode, c’est pas forcément aussi mainstream.
Ça change, on a de plus en plus d’informations (comme avec Textile Addict ou d’autres freelances du secteur du textile) mais ça reste encore assez peu.
Et parfois on a des informations pas forcément exactes ou trop simplistes.
Du genre “si tu veux créer ta marque de vêtements, c’est facile et pas cher ! Tu fais du print-on-demand sur des t-shirts et des sweats-shirts ! Et ça y est tu as ta marque” 🙄
On aura l’occasion d’approfondir ce sujet plus tard 😂
Donc, avec mes contenus, mon ambition c’est de rendre la fabrication de vêtements et le fonctionnement du secteur de la mode accessible et compréhensible pour les marques qui souhaitent se lancer.
Le secteur de la mode est en pleine transformation
Pour moi, les nouvelles marques sont l’avenir et elles marquent un nouveau cycle dans le secteur de la mode.
En ce moment, la mode est en pleine turbulence parce qu’elle est en train de se reconstruire, de se réinventer.
On est en train de désapprendre ce qu’on a fait avant comme :
- délocaliser massivement (au point de fragiliser les savoir-faire locaux),
- produire en masse,
- faire des tarifs super bas qu’on ne sait même plus combien coûte vraiment et vêtement et on ne sait même plus valoriser le travail des gens.
J’aime beaucoup documenter et expérimenter, donc ce que j’apprends je le retransmets dans mes contenus.
De cette façon, vous avez des informations fraîches et actualisées.
2) Faire connaître le métier de modéliste
À l’époque où j’étais étudiante, il y avait peu de témoignages de modélistes.
Il y avait des informations sur le métier (genre ONISEP, etc.) mais pas de témoignage de personnes qui travaillent dans le secteur.
Pour ça, il fallait connaitre ces gens ou être en stage.
Aujourd’hui, il y a quelques témoignages mais c’est encore timide.
Et même aujourd’hui, le métier de modéliste reste méconnu ET confondu avec celui de styliste qui est bien plus populaire.
Merci aux films, documentaires, séries qui romantisent la mode et les stylistes.
J’ai rien contre les stylistes (coeur sur vous 🫶🏽) mais ça m’agace que le métier de modéliste n’ait pas la lumière qu’il mérite.
Donc avec mes contenus, j’ai envie que ce métier devienne aussi mainstream que celui de styliste.
Je rêve d’un jour où on dira « modéliste » et ça sera aussi évident que celui de styliste.
Impact sur la mode (et le lien avec la 3D)
Ensuite, j’aimerais avoir un impact positif sur la mode et contribuer au changement, à mon échelle.
J’ai pas envie de rabâcher à quelle point le secteur de la mode est une des industries les plus polluantes, la fast-fashion, etc.
On le sait déjà, les faits sont là et je préfère me concentrer sur les solutions.
Et me concentrer sur ce que je peux faire, moi Wendy.
Donc, en utilisant la 3D pour la création des vêtements de mes clients, ça me permet d’être en accord avec mes valeurs. En plus d’agir pour une mode plus sensée.
Où on produit, certes mais on fait se son mieux pour concevoir intelligemment, en limitant notre impact.
Parce que un des avantages de la 3D en tant que modéliste, par exemple, c’est de limiter le nombre de prototypes qu’on aurait fait en réel lors de notre recherche de formes, de coupes pour le modèle.
Donc rien que ça, ça limite considérablement le gaspillage de toiles.
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On discutera de modélisme de mode, d’éco-conception de vêtements avec Clo3D et d’entrepreneuriat dans la mode.
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Madame Wendy MARIE-LOUISE-HENRIETTE CHAUPARD responsable de traitement, collecte vos données sur ce formulaire pour vous permettre de recevoir la newsletter. Consultez la politique de confidentialité pour en savoir plus sur vos droits relatifs à vos données personnelles.
Vision personnelle et professionnelle
Maintenant que je t’ai parlé de mon pourquoi, je vais te parler de comment je vois l’avenir pour moi et mon activité.
La notion de vision peut être assez abstraite.
Donc, pour t’expliquer ce qu’est la vision, c’est là où tu souhaites être plus tard : donc, comment tu vois ton futur ? (ton futur personnel, le futur de ton activité…)
Une vision n’est pas fixe et elle peut évoluer.
Pour le coup, cette vision, je l’ai écrite un peu plus tard que le pourquoi.
Échelle personnelle
Ma vision est sur plusieurs niveaux :
Niveau 1 : Stabiliser mon activité
Aujourd’hui, mon activité n’est pas stable.
C’est normal quand on est freelance d’avoir des mois qui fluctuent en termes de chiffre d’affaires car on fonctionne beaucoup par collection. C’est cyclique.
Et les besoins des marques varient :
- certains d’entre vous auront besoin de modèles complets,
- quand d’autres auront besoin de renforts sur les modèles existants donc ce sont des “petites” missions en termes de CA.
Donc mon premier objectif est de stabiliser mon activité.
Je sais exactement comment faire un chiffre d’affaires confortable et récurrent mais je n’ai pas envie de le faire.
Car ça rentrerait en conflit avec mon pourquoi et ma besoin de liberté.
J’aurais l’argent et pas l’épanouissement et ça va à l’encontre de ma nature profonde.
Donc, je dois créer d’autres façons de créer cette stabilité en diversifiant mes sources de revenus, par exemple.
Je travaille encore dessus pour que ce soit quelque chose dont vous avez besoin (les marques) et quelque chose que j’ai envie de faire.
Ça a été le cas avec la formation Clo3D par exemple qui était le match parfait entre le besoin de ma cible + une envie personnelle.
Mon positionnement dans mon activité
Ensuite, comme le CA fluctue beaucoup en prestation de services, depuis peu j’ai décidé de basculer sur une casquette formatrice en ligne & consultante “en activité principale” et modéliste freelance “en activité secondaire”.
Tu peux lire l’article qui explique toute la réflexion derrière ce changement ici.
Quoiqu’il arrive je veux garder un pied sur le terrain pour rester en phase avec les enjeux du moments et les besoins de mes clients.
J’aimerais également encore plus approfondir l’aspect éco-conception pour mon activité 😊
Et peut-être à plus long terme, explorer d’autres domaines annexes, qui peuvent aider mes clients, tout en restant dans la mode.
À voir 😊
Niveau 2 : Me rémunérer à la hauteur que je souhaite
Une fois que mon activité sera stabilisée, j’aimerais me payer à la hauteur de ce que je souhaite.
Je me souviens qu’en écrivant ma vision, j’allais mettre un montant assez bas (à mon sens) parce que j’ai un train de vie assez simple.
Mais je fais partie des gens qui croient qu’un revenu ça ne sert pas qu’à payer les factures.
Pour moi pouvoir payer ses factures, c’est la base mais il faut aussi pouvoir se faire plaisir au quotidien.
Donc, c’est mon ambition de bien gagner ma vie pour avoir l’opportunité de vraiment me faire plaisir en expérience (comme les voyages, par exemple) et en achat.
Niveau 3 : Avoir plus de temps au quotidien
Aussi, j’aimerais passer plus de temps avec mes proches.
Je verrais bien comment ça se dessine en fonction de mes ambitions mais j’ai pas envie d’avoir ce regret de ne pas avoir passer suffisamment de temps avec eux.
Échelle extérieure
Niveau 4 : Faire plaisir à mes proches, pouvoir les aider si ils ont besoin
Deuxième raison pour laquelle j’ai revu mon revenu idéal à la hausse, c’est pour pouvoir faire plaisir à mes proches et les aider si ils ont besoin de moi.
J’ai envie de leur faire des cadeaux, des surprises, de leur payer des expériences et qu’ils puissent se créer des souvenirs.
Mais aussi pouvoir être là financièrement pour eux, si ils ont besoin de moi.
Et je ne veux pas que les aider me mette en difficulté, si tu vois ce que je veux dire.
J’ai envie d’être généreuse avec eux.
Niveau 5 : Faire des dons à des associations humanitaires et écologiques
Troisième raison pour laquelle j’ai revu mon revenu idéal à la hausse, c’est pour pouvoir faire des dons à des associations.
Si tu es à Paris, tu sais qu’à certaines sorties de métro, il y a des associations qui demandent de faire des dons.
Ben aujourd’hui, je ne peux pas me permettre d’en faire car je compte.
À l’avenir, avec mon revenu idéal ou même mon entreprise carrément, j’aimerais pouvoir donner de façon ponctuelle ou récurrente de l’argent pour soutenir des causes qui me tiennent à coeur.
J’ai déjà cherché à m’engager dans des associations et elles ont plus besoin d’argent que de temps (même si le temps est bienvenu aussi, mais tu vois ce que je veux dire).
Parce que parfois, je me sens impuissante quand je vois les actualités du monde et soyons honnête, l’argent permet de faire beaucoup de choses.
L’argent n’est pas la solution à tout mais il ne faut pas se voiler la face sur le fait que l’argent a un impact considérable sur plein de choses dans le monde.
Et c’est pas forcément une mauvaise chose.
Niveau 6 : Investir dans des entreprises à impact
De mon côté, j’ai beaucoup de mal avec les discours négatifs autour de l’argent et sur “les actionnaires” etc.
Personnellement, je crois que c’est possible de faire beaucoup d’argent, d’être éthique et engagée.
À long terme, j’aimerais investir dans des entreprises qui ont (souhaitent avoir) un impact positif sur les Hommes et la planète.
Voire même des marques pourquoi pas (en mode “Qui Veut Être Mon Associé ?” 😂) qui peut-être galèrent à financer leur première collection ou qui ont besoin de se développer. Je verrais bien au moment venu.
Et pour ça, il faut de l’argent.
On ne vit pas d’amour et d’eau fraiche.
Niveau 7 : Inspirer les autres à accomplir leur mission sur Terre
Personnellement, je trouve que mon parcours jusqu’ici n’a pas été facile.
Que ce soit pour trouver ma voie, exercer mon métier ou faire de mon mieux pour vivre de mon activité.
Ça a été challenge sur challenge mais c’est aussi ce qui a construit ma résilience et ma détermination.
Donc lorsque j’aurais atteint mes différents objectifs et ma vision, j’aimerais que ça inspire les autres à ne jamais jamais jamais abandonner.
Et que c’est pas parce que c’est dur que tu n’y arriveras jamais.
C’est juste parce que ta vision est grande (donc ça prend du temps).
Conclusion
Je crois que globalement j’ai envie d’avoir un impact positif sur les autres et sur Terre.
Au début, j’appréhendais de partager ma vision.
Autant le pourquoi ne change pas, mais la vision, c’est le futur et j’ai toujours cette peur que ma vision ne se réalise pas.
Ou qu’elle finisse par changer et que les gens ne comprennent pas pourquoi (car lorsqu’on on écrit, ça nous engage).
Mais j’ai décidé de quand même la partager pour que tu comprennes pourquoi je fais ce que je fais, que tu saches où je souhaite aller et même que tu comprennes mon état d’esprit.
Quoiqu’il en soit même si ma vision évolue (ce qui est normal en soit, comme on est humain), je te le dirais ici et j’expliquerais pourquoi.
J’ai même l’intention de documenter année après année comment j’avance vers ma vision.
J’espère que cet article t’aura plus !
N’hésites pas à me dire ce que tu en as pensé en commentaire et à partager ta vision et/ou ton pourquoi.
À très vite,
Wendy 👩🏽💻
Modéliste Clo3D Freelance – Consultante et Formatrice, j’aide les entrepreneuses ambitieuses à créer leurs vêtements pour leur marque de mode ou de patrons de couture, avec pédagogie et bienveillance.
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